mercredi 21 mars 2012

Entrevue de Mme. Beauchamp



Extrait de l'entrevue de Mme. Line Beauchamp a Tout le monde en parle



Après avoir écouté l'entrevue, je reste aussi ferme sur ma position que celle prise par Mme. Beauchamp. Elle refuse de négocier avec nous, car, pour elle, la décision est prise. Où se trouve la démocratie dans son discours? 

Elle est chargée du secteur de Montréal-Nord et nous savons pertinemment que cette partie de la ville est l'une des plus défavorisées de notre métropole. Je trouve cela paradoxal, car au lieu de réduire les frais, Mme. Beauchamp les augmente. Est-ce logique?

Je me rends compte de plus en plus de l'utilité de ce blog, car c'est un moyen qui me permet de transmettre ma façon de penser à mes collègues. Nous avons entamé la grève et je vous conseille de garder votre détermination et ne pas baisser les bras, il faut aller jusqu'au bout. Nous ne sommes pas des marionnettes, donc battons nous pour nos droits. 
Elle refuse de nous écouter, nous refusons donc de se plier!



2 commentaires:

  1. Bonjour Meriem,

    Je trouve intéressant que tu parles de ce sujet d'actualité. En effet, je parle aussi dans mon blogue, car j'ai décidé de présenter mon point de vue sur la hausse des frais de scolarité.

    J'ai vu à plusieurs reprises cette vidéo qui m'a choqué. Nous sommes présentement revenus en classe et le débat est toujours présent. Il n'y a aucun dialogue. Crois-tu qu'il peut y avoir un dialogue à ce moment? Existe-t-il des solutions à la problématique que les étudiants ont soulevé?

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  2. Bonjour Stéphanie,

    Il y a une phrase que nous ne pouvons réfuter: nous vivons dans un système purement opportuniste et capitaliste qui est destructeur. Le gouvernement profite de chaque occasion pour augmenter les frais.

    C'est dommage, mais je trouve que les citoyens, incluant moi, sommes considérées comme des "marionnettes", c'est-à-dire que les gouvernement a le contrôle sur nous ce qui fait que nous nous plions à toutes ses exigences. J'ai constaté qu'à chaque fois qu'il y a une augmentation des frais, nous ne agissons pas assez fortement et au bout de quelques temps, nous décidons de baisser les bras parce que les choses n'ont pas changé, parce que nous considérons que tout cela est une perte de temps. Notre problème, c'est l'impatience, car nous voulons des changements immédiats alors que ça ne fonctionne pas de cette façon. Au contraire, il faut continuer jusqu'au bout tout en restant déterminé.
    En ce moment, je ne crois pas qu'une grève fera reculer le gouvernement, étant donné que certaines facultés commencent à reprendre les cours.

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